Le saviez-vous ?

Le manager résilient ? Une utopie ?

Pas si on prend des mesures pour l’épauler. Faisons le point.

Dans l’esprit des recruteurs, le manager idéal jongle avec ses hardskills comme avec ses softskills, et surtout, il est résilient : capable de surmonter les défis professionnels, il dirige efficacement son équipe et atteint les objectifs fixés, même dans des situations difficiles voire très difficiles. Un vrai héros des temps modernes !

Sauf que, dans la vraie, vie, ce n’est pas si fluide.
On a tous fait un jour les frais de situations explosives, désagréables et qui laissent un goût amer dans la bouche, des sensations de frustrations, d’injustice, quels que soit son rôle dans l’entreprise.
À l’heure où 64% des salariés se disent « en fragilité personnelle au travail » (enquête Malakoff Humanis 2023), on peut se demander pourquoi tant de souffrances et d’entreprises en péril*, où sont les managers résilients, et s’ils existent vraiment.

C’est qu’on a peut-être oublié l’essentiel…


L’essentiel, c’est peut-être cette vision toute simple : le manager est avant tout un être humain, un monde unique et complexe à lui tout seul, comme l’est chacun de ses collaborateurs ! Pour ordonner le mouvement des planètes de façon harmonieuse, il a besoin de ressources (matérielles, humaines, financières…) et… de temps pour lui !

Du temps ??? Pourquoi faire ????
Pour mieux se connaître et devenir ce manager résilient !
– Celui qui saura identifier ses points forts et ses faiblesses émotionnelles et comprendre ses réactions face aux stress pour ne pas y succomber,
– Celui qui saura cultiver des relations solides avec ses équipes, apprendre de ses expériences et s’améliorer,
– Celui qui saura s’adapter rapidement aux changements et trouver des solutions créatives aux problèmes.
Investir sur le manager, c’est investir sur la bonne marche et la pérennité de l’entreprise.

Travailler sa respiration : simple et efficace


Pour être au mieux de son propre équilibre, le manager a besoin de retrouver ou de reprendre son souffle. Quand il n’en peut plus, ont dit d’ailleurs qu’il est « à bout de souffle », une façon élégante de dire qu’il est en situation d’épuisement professionnel. Juste derrière, c’est le burn-out.

Pour éviter le pire – ou si il est déjà arrivé -, on va lui conseiller de se reposer, de faire de la méditation, du yoga, des techniques de respiration. Objectif : ramener le calme, la paix et la clarté, à l’intérieur de soi.
Pourquoi attendre et ne pas donner la clef tout de suite ? Les neurosciences l’ont révélé : adopter les bonnes gestuelles respiratoires permet l’instauration d’un équilibre interne au service d’un mieux-être, de ses performances, personnelles et professionnelles, et de sa créativité.

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